Trentemøller, not lost yet
08 Nov 2013

Trentemøller, not lost yet

Dans le cadre de la sortie du

08 Nov 2013

Dans le cadre de la sortie du troisième album sobrement intitulé LOST et de la tournée qui s’ensuit (concert  à l’Ancienne Belgique ce 8 novembre 2013)  nous allons vous présenter ce monument de la musique électronique qu’est Trentemøller.

Ce danois a sorti son premier album en 2006 après s’être fait un nom en tant que DJ live au-delà des frontières de son pays natal.  The Last Resort connaît un succès tonitruant dès sa sortie, notamment grâce au hit Moan devenu aujourd’hui un classique.

Anders (de son prénom) ne tarde pas à tourner de salles en festivals en Europe et aux States. En live, accompagné d’un batteur ainsi que d’un guitariste/bassiste, il hypnotise son public. Ayant eu la chance de le voir en 2007 au Pukkelpop, je ne peux qu’exprimer mon contentement de voir un live si bien ficelé, dans une ambiance assez « dark » et un show très sobre agrémenté d’un montage vidéo décoiffant et de jeux de lumières puissants.

 

En 2009, Trentemøller sort un double album hors du commun, contenant des morceaux inédits ainsi que divers remix d’artistes confirmés tels que Röyksopp, Moby ou encore les dinosaures de Depeche Mode.

,  S’ensuit bien évidemment une tournée pour laquelle il prend tout le monde de court. En effet, au lieu de jouer ses inédits, il tâte le terrain jouant plusieurs morceaux son futur album (sorti en 2010), Into The great wide Yonder. Le summum est selon ses propres dires son concert au festival Roskilde dont voici un extrait

Malgré ses nombreux dj-sets,  Trentemøller prouve qu’il est un artiste live hors du commun, qui sait bien s’entourer  pour confectionner un show de qualité pouvant convaincre plus ou moins n’importe quel amateur de musique. Il ne cache en effet pas ses influences Indie, pop, classiques et autres…

Son dernier album en date est un condensé de ces influences. Toujours à sonorité électronique, il a tout de même lifté un peu sa musique, l’agrémentant de voix de tout genre et horizon.

Parmi celles-ci, le légendaire Jonny Pierce de the drums, Kazu Makino chanteuse de Blonde Redhead ou encore Sune Wagner de The Raveonettes . Tout ce gratin réuni forme un album qu’on ne peut qualifier en un style ou en un mot particulier. Nous retrouvons néanmoins de l’électro ambiant, des accords de guitares cinglants ainsi que du synthé. Ce qui le caractérise toujours reste la transition entre musique d’ambiance telle Hazed

 et de la musique plus rythmée comme Trails 

Une appréciation de cet album semble un peu dépassée à l’heure qu’il est, mais restez connectés car le compte-rendu du concert ne saurait attendre !

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