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NORITE : Une rencontre, de la techno, un label.

Norite, le label minéral. Les amateurs de techno, ont surement déjà entendu cet étrange nom résonner dans leurs oreilles. Créé il y a un an maintenant, grâce a l’heureux hasard d’une rencontre, ce label bruxellois aux couleurs sombres, fait déjà bien parler de lui, que ce soit grâce à ses soirées, à ses collaborations, ou encore plus récemment à ses releases. BeatChronic a passé quelques heures avec eux et raconte la rencontre de trois passionnés de musique.

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BeatChronic’s Weekly Selecta – 10.06.16

Par ces temps orageux, BeatChronic nous sortira la tête de l’eau et nous ramènera un peu de soleil avec cette nouvelle sélection des sorties de la semaine. On a droit cette fois-ci entre une belle partie de ping pong entre Bruxelles et Liège. Les deux villes devraient nous prendre à revers avec leurs musiques entraînantes.

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Un brin d’hypnose avec Kuna Maze

Kuna Maze, le protégé de Cascade Records nous prépare l’EP Postpone, déjà disponible en prétéléchargement sur Bandcamp. En attendant la sortie officielle du projet, prévue le 8 avril, il balance l’extrait Keep diggin’ it. Ce titre fait clairement référence aux affinités du producteur avec le mouvement beats. On peut aussi patienter en découvrant la compile de remix, sortie il y a une semaine suite à un projet pédagogique mené avec Miqi O. En espérant un EP à la hauteur de ce premier titre si richement hypnotique.

Pause détente au Botanique avec YellowStraps x Le Motel

Mercredi, BeatChronic a assisté à la release party de Mellow, Le LP de YellowStraps et Le Motel. Ces 3 Brainois produisent un son particulier voyageant entre jazz, pop, rock, électronique, musiques ethniques,… Avant cela, Abrahamblue est venu nous enchanter en première partie. Cet Anversois écrit et interprète ses propres productions. Voici un rapport de la soirée pour ceux qui n’auraient pas eu la chance d’y participer.

Il est 20h pile et celui que l’on croit être AbrahamBlue se place derrière sa table de mixage. La musique commence et un autre gars se pointe: AbrahamBlue, le vrai ! Il nous transperce dès la première note avec sa douce voix posée sur Lovers. (sketch). Le public reste assis sur les grandes marches de la salle. Après quelques titres, le chanteur nous présente son frère derrière lui. On comprend mieux leur ressemblance plus que troublante. Il demande ensuite aux gens de se lever pour danser: « You don’t have to stay like this, you can stand up you know”. Il nous fait aussi savoir que les sons joués ne sont pas sur Soundcloud « I wanted to play new things that people don’t know tonight ». Le show arrive à sa fin et on se dit que le gars a de la bouteille. Contrairement à ce qu’il dit, on sent qu’il est à l’aise dans ses baskets et cette aisance, il la partage avec son frère qui s’éclate là-bas derrière. Il danse et envoie des signaux à Abraham pour qu’il en fasse autant. Ils terminent sur Lets escape après que le chanteur anversois nous ait exprimé son attachement pour ce titre.  Son heure arrivée, il nous remercie et alors qu’il pense quitter la scène, son frère le prend en traître : « I don’t think we’re done yet, you know that track we made earlier ? I think you can do it ! ». Abraham accepte sans trop se faire prier et son frère se joint à lui pour montrer ses talents de danseur. Un bémol reste à souligner, l’effet de reverb permanent sur sa voix laisse perplexe, c’est peut-être ça qui la rend si magique. En tous cas, il n’aura pas fallu plus de 30 minutes au chanteur anversois pour nous convaincre.

Photo : Thomas Geuens

Photo : Thomas Geuens

Il est maintenant 21h passée et nous sommes de nouveau plongés dans le noir. La musique se lance quand 3, puis 4, puis 5, puis 6 silhouettes se dessinent dans la pénombre. La lumière se fait voir très lentement et on découvre Yvan qui fait du son avec son sampler. Il fait encore très noir quand il se met à chanter mais on peut maintenant distinguer qui est qui, qui est où et qui joue quoi. On voit alors Ludovic sur la droite avec sa guitare et sa basse, Mr Comb à la batterie et un saxophoniste dont on ne connaît pas encore le nom, Yvan le chanteur et Alban le guitariste derrière qui se trouve Fabien A.K.A. Le Motel. Yvan se met à chanter et la scène est agrémentée de flashs lumineux apparaissant en concordance avec la musique. Ce qui donne un très bel effet visuel. L’intro se termine sur la scène pleinement illuminée et on remarque leurs chemises aux motifs wax assorties « Ça va botanique? ».

Le concert démarre sur d’Arpeggio, on s’imprègne du phrasé si particulier d’Alban et on écoute son anglais mâchouillé qui est devenu sa marque de fabrique. Le saxophoniste nous fait une petite prouesse sur la fin du morceau avant de laisser ses camarades continuer sur Pollen, un autre morceau que l’on connaît très bien. Alban nous invite donc à chanter mais personne ne se lance. Le public est excessivement mou et extrêmement dur à chauffer.  L’habituel « à vous » sur le refrain est un véritable flop. Il faut dire que leur musique ne se prête pas à la danse de la joie. Il reste que c’est une bulle de chaleur réconfortante en cette nuit froide. À 8 minutes de la fin, la formation nous joue une chanson qui voit enfin la foule s’emporter. Raphaël, le batteur se lâche et les gens se bougent. Du coup, personne ne veut vraiment partir quand sonne le glas. C’est donc sans surprise qu’ils répondent au rappel avec Mirror Lake. Les artistes partis, l’amertume nous envahit. C’est vrai, quand on voit “Release Party ” , on s’apprête à entendre des exclus de l’album en question. En réalité, les chansons sont sur l’album mais elles ne sont pas inédites. Ce projet est disponible sur iTunes et Spotify, à vous de l’écouter et de juger s’il est digne de votre playlist.

Concours : 2×2 places places pour YellowStraps x Le Motel @ Botanique – 21.10.2015

Mercredi prochain, YellowStraps et Le Motel balanceront en exclusivité leur collaboration au Botanique. On a déjà quelques indices sur le projet : on sait qu’il s’intitule Mellow et un premier extrait, Hold Me Tight, a été balancé ce lundi. Voilà de quoi nous mettre l’eau à la bouche! Bien évidemment, BeatChronic est là pour assouvir votre soif de découvertes. On vous donne la chance de gagner 2×2 places et d’assister a cette release party introduite par le chanteur-producteur anversois Abraham Blue.

Comment faire ?

1) Liker la page Facebook : BeatChronic

2) Partager le lien avec le concours sur sa page Facebook

3) “Participer” à l’évènement sur Facebook

4) Envoyer un mail sur contact@beatchronic.com avec votre NOM + PRENOM

Le concours prend effet le 16 octobre et se terminera le 20 octobre. Un mail de confirmation sera envoyé aux gagnants.

Comme ça, Domenique Dumont.

à l’instar d’un Luke Vibert ou d’un groupe Comme Paradis, on en sait très peu sur Domenique Dumont. Sonorités mélancoliques, steel pans, claviers, ligne de basses efficaces, Chats aériens/Sous marins semblants être sortis d’un coquillage sont autant d’éléments qui épaississent le mystère qui gravite autour de l’artiste. Premier EP sorti sur le label parisien Antinote records,  et on est a court d’éléments pour répondre à toutes les questions qui viennent à l’esprit lors de l’écoute de l’EP.

“D’ou sort Domenique Dumont ?”

 

On n’en sais rien. Même la plateforme BandCamp semble en savoir très peu sur elle(?) :

“The little known Domenique Dumont is up first with a stunning album encompassing warm percussive beachside jams, to irresistible melancholic pop that is sure to become a crossover hit.”

 

Effectivement avec deux hits du calibre de Comme ça et l’esprit de l’escalier on a très envie de croire à un départ de feu qu’aucune hype douteuse ne saura éteindre.

Un EP à consommer de toute urgence et un Label à mettre dans vos marques pages.

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